Nous "devons" prendre moins l'avion, manger moins de viande, réduire nos achats, prendre le vélo plutôt que la voiture, etc. Vous connaissez cette liste.

 

Devant tant d'atteintes à ce que nous appelons "libertés", nous tentons de désigner des coupables. Le problème ce serait l'État et ses politiques véreux, ou encore les entreprises et leurs patrons hors-sol. Cela ne nous avance pas beaucoup. ​

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Et si nous faisions fausse route ? Et si l'essentiel des réticences aux transitions provenait d'une production industrielle de désirs anti-écologiques ? Et si c'était précisément sur cette mécanique de production du désir que nous devions jouer ? 

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Entreprises, politiques, administrations, citoyens, tout le monde a un rôle à jouer dans la libération du désir.

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Attention : cette conférence peut occasionner de riches et passionnants débats. 

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Durée : 60 min

Prises en étau entre de multiples facteurs de pression (réglementaires, sociaux, géopolitiques) et les impératifs écologistes, les entreprises doivent se réinventer.
 

Les bilans carbone et ajustements à la marge sont insuffisants. Désormais elles doivent être capables de bifurquer, de renoncer à tout ou partie de ce qu'elles produisaient, de questionner leur gouvernance, d'interroger leur modèle d'affaire, et de revoir leur modèle comptable. Vaste programme.
 

Pourtant, loin d'être des sacrifices, ces réflexions difficiles mèneront les plus ambitieuses et rapides d'entre elles à s'ancrer dans un siècle fait de nouvelles abondances, économiques bien sûr, mais aussi humaines, vivantes, et culturelles. À bon entendeur...
 

Cette conférence, riche d'exemples allant de la PME à la multi-nationale, vise, sans naïveté, à imaginer le rôle que pourraient jouer les entreprises au XXI siècle. 

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Durée : 60 min

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Présentée à : Primonial Reim, Spie, Unébio